Les avantages de l’intéressement

Une rémunération à faible coût

Vous donnez 1000 € nets de prime salariale exceptionnelle

  1. Le coût pour votre entreprise est en général et en moyenne de 2000 € (après charges salariales et patronales)
  2. Le salarié paie des impôts sur ces 1000 € et disposera donc d’une somme inférieure

Vous donnez 1000 € nets de prime d’intéressement

  1. Le coût pour votre entreprise est de 1329 € ou 1107 € (après éventuel forfait social – voir notre actualité)
  2. Le salarié ne paie pas d’impôt sur ces 1000 € s’il les place sur un PEE/PEI ou un PERCOL (ex PERCO).

Un booster de performance

L’intéressement innovant : un formidable outil de management

Lorsqu’il est bien conçu, l’intéressement est un redoutable outil de management. Il permet de mettre en adéquation la stratégie de l’entreprise, sa production de richesse et le système de rémunération.

En regroupant les salariés de chaque « métier » de l’entreprise (commerciaux – administratifs – techniciens – etc.) en « Unités de Travail », vous pourrez utiliser des critères et fixer des objectifs en rapport direct avec le métier de chacune de ces entités.

Dès lors, vos salariés sauront exactement ce que l’entreprise attend en terme de performance et auront l’entière maitrise de l’atteinte et du dépassement des objectifs fixés.

Grâce à l’intéressement, vous bénéficiez d’un outil naturel de gestion des ressources humaines qui vous aidera à fidéliser, motiver, recruter vos collaborateurs.

Bénéfice direct

Vous êtes dirigeant de PME, de TPE ou Profession libérale ?

Optimisez votre rémunération !

Si votre entreprise compte entre 1 et 250 salariés, vous pouvez bénéficier de l’intéressement, de même que votre conjoint collaborateur ou associé, sous certaines conditions. Or, cette rémunération n’est pas soumise à charges (hors CSG CRDS) et non imposable si elle est placée sur un plan d’épargne de type PEE/PEI ou PERCOL (anciennement PERCO).

Sont donc concernés les dirigeants d’entreprises qu’ils soient salariés ou non-salariés.

Contactez-nous pour obtenir une étude personnalisée.

Élément de rémunération

L’intéressement ne vient pas s’ajouter au salaire.

Notre conception est basée sur l’idée que la prime d’intéressement doit être un des éléments de la rémunération globale des salariés. Cette rémunération comprenant (différent en fonction des entreprises) :

  • le salaire fixe
  • le salaire variable (quand il existe)
  • les couvertures sociales (prévoyances, mutuelle, retraite complémentaire, supplémentaire, etc.)
  • les chèques restaurant
  • et la(les) prime(s) d’intéressement

Au fil des années, nous faisons évoluer le système de rémunération de l’entreprise du « 100% salaire »  vers  « salaire + intéressement ».

Quand les objectifs de performance sont atteints, le salarié a été mieux payé à moindre coût pour l’entreprise.

Quand les objectifs sont dépassés, les salariés perçoivent plus d’argent qu’avec une augmentation ou une prime salariale : on peut donner jusqu’à deux fois plus car cela coûte deux fois moins !

L’intéressement minimise les charges

L’intéressement bénéficie d’exonérations fiscales et sociales en particulier toutes les charges sociales patronales et salariales (hors CSG – CRDS et forfait social). Lorsque le dispositif d’intéressement est associé à un plan d’épargne salariale, il permet l’exonération des revenus d’intéressement pour le salarié. Ses caractéristiques en font le mode de rémunération le moins coûteux et le plus efficace pour l’entreprise et ses personnels (voir tableaux ci-après).

Pour un forfait social à 0 % :

Pour un forfait social à 20 % :

L‘intéressement, c’est compliqué : faux !

C’est le discours de ceux qui ne connaissent pas ou ne maîtrisent pas ce dispositif !

C’est certainement la raison pour laquelle l’intéressement n’est pas aussi répandu dans les entreprises. Les chefs d’entreprise sont généralement mal conseillés ou mal informés, et pourtant le cadre de loi a évolué depuis sa création pour s’assouplir de plus en plus et laisse une grande liberté pour concevoir un accord qui…

  • est en adéquation avec la stratégie managériale ;
  • répond aux attentes des salariés ;
  • respecte la culture de l’entreprise ;
  • reste simple pour pouvoir être compris par tous et que chacun s’approprie.

N’utilisez pas des textes standard qui n’auront aucun effet managérial. Faites-vous accompagner par un expert reconnu. C’est la garantie d’avoir un texte totalement adapté aux particularités de votre entreprise et conforme à la législation.

Les primes d’intéressement ne sont pas forcément bloquées 5 ans.

Chaque salarié a la possibilité d’affecter tout ou partie de ses primes d’intéressement sur un plan d’épargne de type PEE (Plan d’Epargne Entreprise) ou de type PERCOL (Plan d’Epargne Retraite Collectif).

Dans ce cas, ces primes ne sont pas à déclarer au titre de son imposition sur le revenu.

En revanche, si le salarié décide de percevoir immédiatement sa prime, elle devra être déclarée comme revenu.

En général, les « petits » salaires demandent le paiement immédiat car cela n’a pas ou peu d’incidence sur leurs impôts. En revanche, les plus gros salaires, qui ont des capacités d’épargne, décident souvent de les placer. Voir notre actualité – Modification liée à la « Loi Macron »

L‘entreprise doit être bénéficiaire pour distribuer de l’intéressement : faux !

L’intéressement est (trop) souvent basé sur un calcul intégrant le résultat financier de l’entreprise. Hors, ce n’est pas forcément le seul critère à utiliser.

L’intéressement doit avoir une signification économique. Il est nécessaire qu’il soit représentatif d’un accroissement de performance pour l’entreprise acquis grâce à l’atteinte d’objectifs de qualité, de sécurité ou de satisfaction de la clientèle, ou encore par l’amélioration de la productivité.

Des critères indépendants des soldes intermédiaires de gestion comptables peuvent être utilisés, à condition qu’ils respectent le caractère objectif de la loi.

Les primes sont réparties entre tous les salariés de l’entreprise

Oui mais, selon la volonté des parties contractantes (entreprise et salariés), on peut moduler la répartition des primes.

Si l’on utilise la possibilité légale de créer des « groupes homogènes de salariés » (appelées Unité de Travail), il est possible d’affecter des objectifs différents d’un groupe à l’autre.

Si une Unité est plus performante qu’une autre, elle touchera potentiellement des primes plus importantes. Il est donc possible de faire du « sur mesure » sans pour autant aller jusqu’à l’individuel qui ne respecterait pas le caractère collectif de la loi.

Par ailleurs, la répartition pourra se faire en fonction du temps de travail ou proportionnellement au salaire, ou selon un mix des deux.